mercredi 4 septembre 2013

N°118


Qq secondes après.

Je n’ai pas le temps de savourer mon plaisir qu’il m’attire à lui, m’enfonce sa queue dans la bouche et se répand au fond de ma gorge.

Pause. Suis HS. Je lèche mon plaisir sur son pied.

Bien que je pense ne pas pouvoir jouir à nouveau, j’obéis à sa demande de reprendre ma position de sale cabot, les cuisses bien écartées contre son pied, y frottant ma chatte trempée. J’ai mal aux genoux, irrités par la moquette. Je me sens terriblement femelle, assoiffée. Il me parle, me dit que je suis une chienne. Est-ce à ce moment-là que j’ai joui ?

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