jeudi 29 mai 2014

N°202


Le lendemain. Fin de journée. Chez moi.

La rencontre d'hier dans le parking m'a électrisée. Un degré d'excitation très élevé. 
Cela occupe mes pensées durant toute ma journée de boulot et lorsque je reçois un message de Fabrice, via un site de rencontres libertines, j'y réponds instantanément. Je veux retrouver cet état où mon cerveau entre en fusion. Je chauffe Fabrice qui se laisse faire. Les mails s'enchaînent. Il est moins percutant que ne l'est Franck mais mon désir m'aveugle. 
Je lui donne rendez-vous chez moi et accepte docilement ses consignes : je l'attendrai les yeux bandés, nue, en bas et talons. (...)

Je me presse pour rentrer du boulot et, sur la route,je reçois un appel d'Hector. Ce que produit en moi cet homme est un mystère : humainement, je crois que je ne l'apprécie pas ; de toutes façons, je ne le connais pas. Mais il y a qq'chose en lui qui me rend animale. Face à lui, je me sens une chienne qui veut être prise par son mâle et ne suis plus capable de rien d'autre. 
Plusieurs fois, Hector, alors qu'il était avec une de ses amantes, m'a fait participer en m'envoyant des photos ou des enregistrements audio qui m'avaient excitée au plus haut point. C'est à mon tour de l'associer à mes activités libidineuses. (...)

18h. J'entends Fabrice entrer dans mon appartement. Je suis prête, nue, debout au pied du lit, les mains posés sur la tête comme il l'a exigé. Mon téléphone est posé à proximité, afin qu'Hector puisse entendre ce qui va se passer. Je sais qu'il est à son travail et qu'il bande. 
Fabrice s'approche de moi, glisse qq billets dans mon string en me disant à l'oreille : "tu es une pute". Il met sa main sur ma nuque et m'oblige à me baisser vers sa queue qu'il a déjà sortie de son pantalon. Je le suce, longuement, puis il me met à quatre pattes sur le lit et tente de me sodomiser. Il n'est pas assez dur et me fait mal. Il jouit rapidement et petitement. Il se rhabille et quitte mon appartement. Je suis trempée (...)

Au téléphone avec Hector, je jouis alors qu'il me raconte combien je l'ai excité.


 

2 commentaires:

  1. Sympa ! J'ai vecu quelque chose du meme ordre, il y a plusieurs annees. En revanche, la copine a l'autre bout de la ligne et quelques centaines de kilometres avait ete profondement frustree d'etre seule avec son vibro dans son grand lit froid. Esperons pour Hector qu'il est vrai voyeur.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je crois en effet qu'il a été TRÈS frustré !

      Supprimer