Vendredi. Minuit. Avec Paul.
Je dors déjà quand mon téléphone sonne : "Tu peux descendre, là ? - Putain... je dormais. -Arrête de jurer, enfile un truc et viens me rejoindre."
Arrivée en bas de mon immeuble, je constate que la panne d'électricité se poursuit. L'éclairage public n'a pas été rétabli dans quelques rues du quartier, il fait nuit noir.
Nous nous câlinons, comme deux adolescents dans la cour du collège. Des baisers, des mains qui se baladent, des souffles qui s'accélèrent. Je suis à peine habillée : mes seins, mon ventre, mes fesses sont à portée, la nuit permet toutes les folies.
Paul m'attire vers un profond renfoncement de porte. Il retire mon tee-shirt, déboutonne sa braguette et me fait m'accroupir, face à son sexe dressé. Je le prends en bouche, le dos appuyé contre le mur de la boulangerie. Parfois, une voiture illumine la rue de ses phares. Paul se fige, espérant me cacher de son ombre. (...)
Le goût de son foutre dans la bouche, je me relève et l'embrasse. Je sais qu'il adore ça. Nos langues dansent. Il déboutonne mon jean et glisse sa main contre ma chatte, trempée, ruisselante. Il y enfonce ses doigts, me fait les lécher, étale ma mouille partout, retourne à la source. J'entends des voix à l'angle de la rue. Mon plaisir explose sous ses doigts alors qu'il contient mes cris de son autre main.
t-est une belle cochonne alice, je te prendrai bien par tous les trous.
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