Chez moi. Mardi minuit. Avec Paul.
En un an et demi d'absence de ce blog, notre relation a connu une looonnngue pause puis des retrouvailles magnétiques. Toujours aussi compliqué de se voir et d'anticiper.
Ce soir, il doit arriver à 23h et essaie d'attiser mon attente. Texto n°1 : "Une jupe très courte et des talons". Texto n°2 : "Prépare
un gode..." et n°3 : "... et une capote". Texto n°4 : "Je vais te
gifler et t'enculer. Je ne sais pas encore dans quel ordre". Mauvais timing : je ne suis pas du tout dedans, avachie sur mon canapé à rattraper mon retard de séries !
Il arrive enfin, boit un verre tout en me faisant sucer le gode que j'ai préparé, vérifie parfois l'humidité de mon intimité. Puis me pénètre avec le gode, m'emmène dans ma chambre, m'enfonce un bas dans la bouche (mais pourquoi ai-je réclamé un bâillon ?), installe la capote sur sa queue et s'évertue (quoique la référence à la vertu me paraisse incongrue) à me sodomiser. Sans préparation, sans lubrifiant. Mon petit trou refuse mais Paul insiste. ça fait mal, c'est désagréable mais je ne dis rien.
Une fois qu'il est au fond, je mets mes doigts sur mon clito. Trempé, gonflé. Mais comment c'est possible alors que j'ai mal ? Je fais jouer mes doigts rapidement et jouis, pour me débarrasser de ce pieu dans mon fondement.
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