Un mercredi du mois de mai. Fin de journée. Dans un parking souterrain.
Je lui ai dit être joueuse. Je pense qu'il veut vérifier si je ne lui ai pas menti en me proposant de jouer et en fixant les règles : il m'indiquera à quelle place il est garé. Je dois entrer dans sa voiture, placer le masque qu'il y aura laissé sur mes yeux, me déshabiller et l'attendre. Je ne l'ai jamais vu, pas même en photo. Nous avons échangé cinquante mails en deux jours et avons assez rapidement compris que nous avions beaucoup de choses à échanger et à explorer ensemble.
Je me gare, à l'autre bout du même étage du parking, et rejoins sa voiture. Claquement de mes talons. Je croise des usagers du parking, lui peut-être ?... Je doute qu'ils imaginent que je vais m'offrir à un quasi-inconnu. (...)
Je ne porte plus qu'un string, des bas et le masque sur mes yeux. Je suis assise à l'arrière de la voiture, une partie de la banquette est baissée me permettant d'allonger mes jambes vers le coffre, et j'attends. J'ai l'impression que cela dure très longtemps avant d'entendre des pas qui se rapprochent et la portière s'ouvrir.
Franck s'assied à côté de moi et me parle tout de suite. Je sens qu'il veut me rassurer, se rassurer. Très vite, il pose sa main sur moi, sur mes épaules, mon dos, mon cou et me dis que je suis belle.
Au bout de quelques minutes, il me fait m'allonger et sa main s'aventure vers mon entrejambe. Trempé. Immédiatement, il trouve comment me toucher... et je me dis que cet homme est décidément doué, pour trouver le chemin vers mon cerveau et vers mon sexe. (...)
"J'aimerais vous faire quelque-chose qui risque de faire un peu mal. Dès que vous me demandez d'arrêter, je le fais. C'est d'accord ?" J'hésite quelques secondes puis accepte. Je sens une pince, sur mon téton gauche, puis sur mon téton droit. La douleur est supportable et très excitante. Je sens que je dégouline et ses doigts ne quittent pas mon intimité. Franck m'embrasse, me murmure des choses à l'oreille, joue avec les pinces. Je me torts, de douleur et de plaisir, je gémis. "Encore, encore..." Franck comprend que je veux qu'il laisse les pinces alors que je veux seulement qu'il continue de fouiller mon intimité ruisselante. Mon plaisir explose sous sa main.(...)
Je me rhabille, me recoiffe et rejoins ma voiture. Je n'ai pas vu son visage.
Hmmmm... C'est bien cela. Je propose de donner la version vu de l'homme, vu de Franck. A suivre
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerIntéressant ... ;-)
Je suis preneuse de votre version.
cela faisait longtemps que je n'avais pas lu vos orgasmes ils sont toujours orgiaques hummmmm
RépondreSupprimerEt je ne compte pas que cela cesse !
SupprimerDans un parking, c’est osé ! J’espère que vous n’avez toujours pas vu son visage et conservé le vouvoiement, comme ce fut le cas pour Sarah et moi. C’est tellement plus érotique.
RépondreSupprimerJe m’interroge toutefois sur le fait qu’on trouve bien plus de récits de femmes soumises à un presque inconnu, que l’inverse. Le « dominant » raconte rarement, la « dominante » encore moins.
Bien sûr, nous continuons à nous vouvoyer, c'est tellement excitant.
SupprimerMa louve, ma version de l'histoire, comme promis, est trop longue pour tenir dans ces commentaires. Je vous la fais parvenir par mail. Pouvez vous la publier comme ma réponse à votre version ? Sans la couper ni l'atérer bien sûr !!!
RépondreSupprimerLa voilà publiée.
Supprimer